• Douceur sapphique

    Gentiment, et avec beaucoup de tendresse, elle retire ses doigts de ma fente et me donne un doux baiser sur ma toison finement taillée. Elle se lève puis se dirige vers l’évier afin de me préparer une serviette d’eau chaude qu’elle pose sur mon sexe détrempé afin d’éponger tout le liquide qui s’en est échappé. Tous ses gestes sont à la fois empreints de sensualité et de tendresse.Tu te réveillas en sueur, la bouche moite, exténuée ; le drap de ton lit était inondé d’odoriférante cyprine ; tu l’embrassas, le reniflas, longuement, amoureusement, comme un petit animal pervers. Remuant follement les fesses et les nichons, tu t’enroulas le visage dans le drap, afin de te mieux exalter de tes propres sécrétions et arômes entrejambiaux ; et tu te caressais, et tu pensais à elle…, tu pensais à son cul, tu pensais à ses jambes, tu pensais à ses affriolants sous-vêtements, tu pensais à ses petons, à ses escarpins, à ses cuissardes, à ses bottines, à ses capiteux parfums… Coralie te fascinait : elle était si belle ! Si bandante ! Etre à son service pour une orgiaque nuit te procurait une étrange sensation, un indéfinissable mélange de crainte et de désir ; satisfaire ses volontés les plus imprévisibles t’émoustillait réellement, tant tu la vénérais ; mais la peur, la crainte de la décevoir te remplissait d’effroi : si elle décidait de te rayer de la liste de ses servantes ? Pourrais-tu te passer de ses ordres ? Cesser d’être le reposoir de ses fesses, le réceptacle, buccal et anal, de ses godemichés-ceinture ? La vie pour toi serait-elle supportable sans le bonheur de remplir ses verres, son assiette, son insatiable libido ? Sans sa main sur tes fesses, sans ses doigts pénétrants dans ta chatte et dans ton trou du cul ?

     

    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter